Une des choses qui nous a le plus marqué dans les métros que nous avons emprunté (outre la propreté), c’est la généralisation du système sans barrière. Personne ne vérifie si tu as bien acheté ou composté ton billet. Chacun est responsable et très peu de gens fraudent, car si c’est le cas, l’addition est alors salée (en Allemagne, les affiches annoncent jusqu’à 1000€ d’amende!).
C’est d’ailleurs à Berlin que nous avons été contrôlé, par deux fois, et nous avons compris pourquoi il n’y avait pas besoin de barrière.
Les contrôleurs sont jeunes, en civil, avec des pochettes de djeuns genre Converse, baggy et T-shirt. Ils rentrent à deux l’air de rien, chacun à un bout du wagon. Ils attendent quelques secondes que le métro démarre et ils sortent cartes officielles et bipeurs de leurs pochettes.
Toute personne ne possédant pas de titre de transport valide est débarquée à l’arrêt suivant pour régulariser sa situation.
Vous pouvez également être contrôlé sur le quai.
En tant que Français, on aurait la tentation de voyager sans payer. Attention de ne pas y succomber!
Je me suis fait contrôler un soir à Budapest, par une contrôleuse seule qui faisait moitié de ma taille. Elle a été très cool cela dit parce qu’elle a même laissé un groupe de mecs bourrés prendre une photo avec son brassard ! J’ai du mal à imaginer ça dans le métro à Paris…
Et à Budapest encore, des agents (généralement pas très aimables) sont très souvent postés au niveau des entrées du métro pour contrôler les titres de transport. Vous n’en avez pas vu ?
Effectivement, on en a vu à Budapest: l’un avait 100 ans, l’autre n’avait qu’un bras!! Ça donnait une drôle d’impression! En revanche, c’est la seule ville dans laquelle on a été contrôlé avant de monter!
Moi ça m’a surtout donné l’impression que ça les faisait ch*er de faire ce boulot…
Les « contrôleurs » du métro berlinois sont des chômeurs payés en fonction du nombre d’amendes !
Pour notre part, nous avions été contrôlé avec des titres expirés la veille. Nous avions simplement caché la date et nous sommes restés « impunis », mais je pense que le type n’a pas voulu nous embêter…
Pour ma part, ce qui m’a le plus frappé dans le métro berlinois, c’est qu’il n’y a pas de cohue, pas de stress, les gens ne courent pas comme à Paris.
Ah, Berlin, j’aime cette ville !
oui Tania, exactement ça… pas de stress, personne ne se pousse… moi aussi j’aime Berlin… On s’y organise un petit voyage scolaire? on partage le bus 😉